Dossiers - Entrelacs

Entrelacs

Théâtre de Marionnettes et d’objets

A partir de 18 mois | durée : 30 min

Création 2018

Un accueil attentionné, des fils rouges suspendus et une assise molletonnée d’un blanc éclatant… le dispositif imaginé par Claire Latarget fait voyager petits et grands. On a envie de s’abandonner en ce cocon qui nous rassemble.

Le spectacle commence dès l’entrée du théâtre : dès cet instant, le premier lien est noué qui mène au cœur d’un cocon confortable, espace de partage et de sensations.

Le spectacle, qui est tout autant une installation plastique, parle de liens, ceux qui unissent les êtres, et ceux qui unissent les parents et leurs enfants.

Les fils tendus, tricotés, brodés, tissés, véritables sculptures textiles, sont la trame de ces entrecroisements humains et artistiques. Une immersion où chacun, petit ou grand, peut prendre le temps de la découverte.

Comment part-on à la découverte de ce continent inconnu qu’est l’autre ?
L’étranger ?
Tout s’emmêle un peu dans la vie et au théâtre aussi.

Un fil trace un chemin, nous emmène dans la même direction.
Un cocon nous entoure, nous change.
Une relation se dessine.
Entre nous. Des tas de fils.
Un spectacle qui commence dès l’entrée dans le théâtre.

Distribution

Metteure en scène : Claire LATARGET, Virginie GAILLARD, Mathieu L’HARIDON

Jeu : Elise COMBET

Régie et manipulation, réalisations sonores : Mathieu L’HARIDON

Costumes : Nina LANGHAMMER

Administration de production : Claire LATARGET & Stéphanie PLASSE

Diffusion / production : Les Gomères / Nadine LAPUYADE

Mentions obligatoires

Production Anima Théâtre

Co-Production Théâtre Massalia – Scène conventionnée d’intérêt national art, enfance, jeunesse, Marseille | Association Eveil Artistique – Scène conventionnée jeune public, Avignon 

Soutiens Scène 55 – Mougins | Le Théâtre de Cuisine, Compagnie conventionnée, Marseille | Le Forum, Berre l’Etang | DRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur | Région Sud | Conseil Départemental des Bouches-du-Rhône | Ville de Marseille

Photos : © Sonia Garcia Tahar | © Mathieu L’Haridon